Opération Rifthammer

Dirigeant de l'opération : Grant Dunwall
Dirigeant de la mission : Grant Dunwall
Dun Falkaz, le 11 ème jour du 12 ème mois de l'an 37
Type : Reconnaissance
Objectif : Trouver une sortie aux galeries
Participants : Escouade Dunwall, Brigade de fer, Archimage Bromni Forterune, Kalluin Leafwhisper
Déroulement de la mission :
Nous avons subit quelques blessures après notre chute des galeries des ettins et avons glissés bien plus profondément sous la mine. En arrivant au sol, nous avons trouvé d'étranges formations de cristaux et champignons émettant de la lumière. En regardant nos alentours, nous avons vite deviné au vu de la forme des tunnels que nous devions être dans les galeries d'un très gros ver creuseur.

En progressant dans les tunnels, nous sommes arrivés dans une grande salle où se trouvaient des ruines d'architecture titans mais toujours pas de sorti, c'est au bout d'une heure de voyage que nous avons confirmé notre théorie du ver. Un étrange ver composé d'anneaux de pierre et d'une sorte d'énergie magique rouge nous a attaqué en sortant de son tunnel. La "bête" semble aveugle et sourde, mais sensible aux mouvements et particulièrement résistante, nos armes - a l'exception des masses maniées par des individus particulièrement forts et des explosifs - n'ont eu aucun effet sur la créature et chaque anneau détruit ne faisait que réduire la taille de la bête. Nous avons du détruire chaque anneau pour en venir à bout et, en entendant d'autres vers arriver, nous avons décidé d'éviter tout autre combat et de poursuivre notre route.

En sortant de la galerie, nous sommes arrivé dans une immense caverne, au plafond plus haut que le plus grand château, et si profond que nous ne parvenions pas a en voir le fond. Nous n'avions plus besoin de torches ici, des lierres et autre végétation luminescentes couvrant le plafond et quelques portions du sol fournissant suffisamment de lumière pour nous tous.

C'est également en sortant que nous nous sommes rendu compte que nous étions au milieu d'un nid de ces vers de pierre, nous en sommes sortis le plus vite possible et avons monté le camp au pied d'une falaise pour nous reposer afin de mieux la gravir le lendemain.
H. Lainzer