« Ce que l’on voit en premier chez Oberson, ce sont ses yeux.
D’un bleu que l’on reconnait aux bannières de l’Alliance que le capitaine défend, ils sont empreints d’une ferme détermination et d’une bienveillance spirituelle qui rejoint la mélancolie née des souvenirs de sa Lordaeron tombée.

D’une posture droite, impérialiste et conquérante, contrastée par la réserve dont il fait preuve. Sa carrure d’homme d’armes soutient son énorme armure d’acier qui, aux maigres et discrètes dorures, le place d’égal à égal avec ses hommes. Le métal entre ses doigts est un peu plus rayé, perd de sa couleur : j’ai toujours pensé qu’il s’agissait d’une cause au maniement de l’arme mais dorénavant, je suis sûr qu’il joint les mains pour prier. De fait, malgré son grade, c’est une personne humble aux ambitions modestes et pieuses.

Lorsqu’Oberson lève sa lame et que la Sainte se reflète dans cette dernière, il est sûr que la justice et la Foi accompagne le capitaine dans son action, dans ses mots et dans ses idées. Sa volonté de rendre l’Alliance et la Lumière supérieures, au-delà de toute espérance, bien au-delà de toute rationalité, fait de lui un roc inamovible de la société humaine. L’on se plaît, pourtant, à se confesser à lui car on le sait miséricordieux et compréhensif : on trouvera chez lui la même proximité que l’on peut avoir avec un homme d’église, la même confiance, la même affection, la chaleur d’un foyer plutôt que la pierre froide des cathédrales. » A.Karmeliet.

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- Lecture/écriture
- Maîtrise de la Lumière
- Maîtrise bouclier et épée une main.
- Maîtrise marteau deux mains.
- Port d'armure
- Equitation
- Survie en milieu hostile
- "Connaissances" en bas-parler